Dans le cadre du BDSM, les humiliations peuvent être une pratique consensuelle et érotique pour certaines personnes, mais ce qui est considéré comme « meilleur » dépend toujours des limites, désirs et accords entre les partenaires.
Voici quelques formes courantes d’humiliation, souvent utilisées dans un contexte de jeu psychologique ou de domination/soumission :
Humiliations populaires (toujours consensuelles)
● Langage dégradant : utiliser des surnoms humiliants ou réducteurs (ex. : « mon petit chien », « esclave », « salope »).
● Ordres absurdes ou gênants : faire faire des tâches ridicules ou infantilisantes.
● Jeux de nudité : forcer une personne à rester nue ou porter des vêtements gênants.
● Contrôle des toilettes : demander la permission pour aller aux toilettes ou utiliser des punitions liées.
● Exposition contrôlée : faire faire des vidéos, photos, ou tâches en public (virtuellement ou en privé) dans des contextes humiliants — toujours avec prudence et consentement.
● Inspections corporelles : imposer des examens ou présentations du corps d’une manière dégradante.
● Fantasmes d’humiliation sexuelle : comme le cuckolding, le chantage fictif ou les jeux d’exhibition.
● Jouer sur des faiblesses réelles ou imaginées : avec précaution, certains aiment être « taquinés » sur leurs complexes.
Règles fondamentales
Consentement clair, libre et éclairé (idéalement avec un contrat ou un safeword).
Communication constante, avant, pendant et après la scène.
Suivi
Celui-ci est indispensable après une scène impliquant de l’humiliation psychologique, pour rassurer et rééquilibrer émotionnellement.